Jérôme, 11.06.03 : …il n’y a pas d’acte de peindre qui ne se fasse pas dans l’histoire de la peinture, et c’est pour ça qu’on éprouve plus de mélancolie que de désir (sexuel, au début) devant une fille dont la présence nous bouleverse, parce que c’est une brèche ouverte dans notre histoire, notre façon d’appréhender la beauté depuis toujours, c’est de l’ordre du discours – et du discours de l’invisible avec nous-mêmes qu’on trouve tout à coup matérialisé dans l’embrasure d’une fenêtre lors d’une fête épuisante quelqu’un qui nous parle vraiment.

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