Nabokov sur sa Lolita
« Que mon roman comporte diverses allusions aux appétits physiologiques d’un pervers, cela est vrai. Mais après tout, nous ne sommes plus des enfants, ni des adolescents analphabètes et dévoyés, ni de ces pensionnaires des « public schools » anglaises qui, après une nuit de frasques homosexuelles, se voient contraints à étudier les Anciens dans une version expurgée. »

Un éclairage bienvenu d’un maître de la littérature, loin de l’hystérie nauséabonde qui règne actuellement. De la nécessité de toujours prendre du recul.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *