Among The Trees

Pour finir l’hiver et bourgeonner enfin, j’avais besoin de l’aérienne Laura Marling, de la lassitude que porte la voix tourbée d’un Michael Chapman pourtant pas encore vieux, de retourner à de vieilles sources qu’on pensait taries ou qu’on avait juste oublié de fréquenter avec le temps (Tunng, Richard Gilly ou même le Floyd). Force est de constater qu’une demi-année plus tard, l’envie de se perdre dans les bois est toujours là.