Denis Sieffert : Politis, l’histoire d’une crise.
D’après l’auteur, directeur de la rédaction, le mensuel a frisé la faillite pour avoir été noyauté par ATTAC, qui profitait à plein temps du directeur général payé par le journal (c’est quand même bien pratique de ne pas être un parti politique, on ne le répètera jamais assez), avant d’éviter de peu d’être noyauté par les ségoléno-royalistes. J’essaierai de lire Politis, pour voir si c’est aussi prévisible que le Diplo ou si ça tente d’être intéressant.
Comme on le voit, je n’ai aucun commentaire sur l’affaire, mais je lie cet édito essentiellement parce que ces quelques phrases de quasi-conclusion me font rire :
Nous devons donc absolument, et le plus rapidement possible, arriver à l’équilibre. J’imagine ce que ce discours peut avoir d’incongru pour certains de nos lecteurs. Il ne s’agit nullement pour nous d’un propos mercantile ou d’une concession à l’idéologie de marché.