Tipota reprend un éditorial assez virtuose de Philippe Val : Les traîtres et les crétins (à partir du 3ème paragraphe).

Si l’on a oublié ce que l’on doit aux traîtres – les libertés publiques, les congés payés, la réduction du temps de travail, la libéralisation des moeurs, j’en passe et des plus futiles -, on se souvient en revanche avec émotion que les crétins nous ont fait rêver d’un avenir radieux.

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