Pascal Riché : Kerry perdu sans McCain
Pourtant, depuis le début de l’affaire Abu Ghraib, il n’a même pas cherché à se présenter comme une autorité morale. Il est effroyablement mou. Lorsque le scandale a éclaté, les médias ne se demandaient pas: « comment va réagir Kerry? » mais « Comment va réagir McCain? »
Décidément, Kerry n’a pas la frite. (Frite. McCain. Désolé.)