Entrée intéressante de Greg Costikyan sur la prédictabilité de la littérature fantastique.
C’est une des raisons (la principale étant probablement une forme de paresse) pour lesquelles le genre me passionne moi aussi beaucoup moins qu’à 16 ans. On a du mal à voir où sont aujourd’hui les Lovecraft, les Cordwainer Smith, les Franck Herbert, ou quand Dan Simmons reviendra à des choses plus sérieuses. Bien sûr, la lecture de la presse spécialisée devrait apporter des réponses, mais je n’ai pas l’énergie de m’y consacrer.
Et il faudra que je lise Neil Gaiman un jour.