Jérôme Attal (12.01.04)
On ne peut plus retrouver qu’à peu près les ambiances et les choses, les Noëls de l’enfance et les amitiés désincarnées d’un cycle lointain, les émotions et les jambes des filles et les pliures dans lesquelles se risquer ; il faut beaucoup de force, d’emportement, de fulgurance pour se sortir de tête l’empire de l’à peu-près.