Apsara
« D’une taille moyenne, bien prises, dans la fleur de la jeunesse, admirables à contempler, on ne peut les regarder sans amour. L’œil ne se fatigue pas, l’âme est réjouie, le cœur n’est jamais rassasié. Lorsqu’on les a considérées pendant quelque temps, l’esprit qu’elles ont charmé ne peut se résoudre à les quitter. Ce ne sont plus des statues sculptées par la main des hommes, ce sont des femmes vivantes, belles et agréables. Le doute saisit et l’émotion paralyse. »— Pâng, poète cambodgien, XVIe ou XVIIe s. |
« D’une taille moyenne, bien prises, dans la fleur de la jeunesse, admirables à contempler, on ne peut les regarder sans amour. L’œil ne se fatigue pas, l’âme est réjouie, le cœur n’est jamais rassasié. Lorsqu’on les a considérées pendant quelque temps, l’esprit qu’elles ont charmé ne peut se résoudre à les quitter. Ce ne sont plus des statues sculptées par la main des hommes, ce sont des femmes vivantes, belles et agréables. Le doute saisit et l’émotion paralyse. »