Le Monde : A Gênes, la police aurait fabriqué de fausses preuves

Les deux cocktails incendiaires et d’autres objets auraient été placés par la police elle-même. De même, le prétendu coup de couteau porté par un manifestant à un policier, événement qui devait provoquer l’intervention à l’école Diaz, serait tout aussi faux, selon les expertises.

Les charges jusqu’alors retenues contre les 93 protestataires pourraient être abandonnées.

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