Le syndrome de Stendhal.

« J’étais dans une sorte d’extase, par l’idée d’être à Florence, et le voisinage des grands hommes dont je venais de voir les tombeaux. Absorbé dans la contemplation de la beauté sublime, je la voyais de près, je la touchais pour ainsi dire. (…) En sortant de Santa Croce, j’avais un battement de cœur, la vie était épuisée chez moi, je marchais avec la crainte de tomber. »

Depuis chaque année, une dizaine de personnes sont victimes de réactions incontrôlées devant le  » David  » de Michel Ange, le  » Bacchus  » du Caravage ou la  » Venus  » de Botticelli. A Florence, l’hôpital Santa Maria Nuova recense ces cas de  » souffrance psychique face aux œuvres d’art « …

Jolie émission florentine à la télévision ce soir : « 20% des oeuvres d’art classées au patrimoine mondial se trouvent en Toscane. » !

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