Télérama : Sauve qui peut la ville

«Sur les jolies plaquettes des promoteurs, quand on vous encourage à acheter dans un lotissement, personne n’évoque les embouteillages quotidiens, la deuxième voiture obligatoire pour aller chercher même le pain. Eludés, aussi, l’isolement culturel, l’absence d’espace public et la monotonie de ces quartiers qui n’en sont pas. Et rien non plus sur la note de chauffage et le prix de l’essence, qui ne cesseront plus de grimper». Et les impôts locaux ! Il n’y a pas que l’heureux propriétaire endetté pour l’éternité qui se retrouve dans le rouge : la collectivité l’est tout autant.
«Entre les routes, l’éclairage public, l’assainissement, elle paie le prix fort. Sans parler des services qu’elle doit rendre, comme la collecte des ordures, les transports en commun et le ramassage scolaire.»

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