Libération : Le paradoxe du Versaillais

« Pendant les deux premières années, ça m’embêtait de dire que j’habitais à Versailles. Je crois que j’avais un peu honte. »

A ceux qui ne voudraient pas y croire, il faut le répéter : ça existe.

Klub des Loosers, Sous le signe du V

Pour savoir à quoi ressemble une ville de province dans les années 60
Il n’y a pas besoin d’inventer de machine à remonter dans le passé
En partant de Paris il suffit de prendre le bon RER C
Je suis inquiet, toutes les rues d’ici semblent avoir une maladie
Je ne suis pas docteur ès ville mais je crois bien que c’est l’ennui

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