Kottke propose un beau billet sur la Madonne de Duccio di Buoninsegna, peintre siennois de l’exacte charnière entre l’art byzantin et la première Renaissance Italienne. Le tableau, jusqu’à présent entre les mains d’un collectionneur privé, vient de rejoindre le Met à New York.
Le billet explique, en des termes accessibles à tous, en quoi cette œuvre est magnifique et cruciale. Au Louvre, nous avons quelques peintures de la même époque, comme un Cimabue ou le Saint François d’Assise de Giotto, qui rendent elles aussi très humble devant ces véritables révolutionnaires qu’étaient les italiens du trecento et du quattrocento.

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