Libération : Google rebelle aux lois du marché.

Bon, « rebelle » au sens de la FNAC, mais tout de même :

Initiative encore plus mal appréciée : le verrouillage du contrôle. Un des principes capitalistes de bonne « gouvernance », c’est que toute action donne droit à une voix à l’assemblée générale des actionnaires. Le principe retenu par Google est tout autre : les actions des fondateurs (qui comptent garder 30 % du capital) devront peser, en terme de pouvoir, dix fois plus que les autres. Question d’indépendance.

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