New York Times : Michael Moore’s Public Service

And for all its flaws, « Fahrenheit 9/11 » performs an essential service. Mr. Moore may not be considered respectable, but his film is a hit because the respectable media haven’t been doing their job.

(J’ai oublié le site qui permet de se connecter à différents fournisseurs de contenus, dont le NYTimes, via un compte anonyme ?)

C’est amusant, et d’une manière ironique, Internet quand même. Et ce weblog en particulier.

Les gauchistes m’y donnent envie d’être de droite ; les e-mails que je reçois me donnent envie de papier et de tâches d’encre ; et mes pairs informaticiens me donnent envie de tout désinstaller sauf VB et Excel.

Les plus amusants toutefois ne sont toujours pas détronés : les utilisateurs d’Apple persuadés d’être anticonformistes.

Cronyism : « The change came, I am told, with the Truman administration, which was accused of appointing friends to government posts without regard to their qualifications. A journalist on the New York Times described this practice as cronyism, so modifying the sense of the word. »

Un mot que l’on retrouve beaucoup de nos jours dans la presse anglo-saxonne, au sein des bilans de la présidence Bush et de l’occupation irakienne.

Libération a un dossier sur Morgan Spurlock, qui n’a mangé qu’au McDonald pendant un mois et en a tiré un film, Super Size Me. Interview :

Il s’est passé quand même trois choses, qui correspondent aux problèmes de santé les plus médicalisés aux Etats-Unis. Quand je mangeais, je me sentais bien mais le reste du temps j’étais très dépressif. Pour cela, il y a le Prozac. J’ai souffert d’impuissance sexuelle, qu’on traite en général avec du Viagra. Enfin, je ne pouvais pas me concentrer, avec tous les symptômes d’une hyperactivité. A nos enfants hyperactifs, on donne de la Ritaline.