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Author: manur

Tipota : This town ain’t big enough

De mon point de vue, Marie Ségolène séduit par son autoritarisme étatique les born-again marxisants et par ses provocations et son non conformisme les libéro libertaires. Une équation parfaite pour un parti traumatisé. Le seul problème est que cela constitue une dérobade de plus, une nouvelle façon de ne pas résoudre les nœuds idéologiques du socialisme français, une simple fuite en avant.

8.6 Go

8.6 Go

J’en ai visité, des églises italiennes et des pinacothèques. A chaque fois, c’est un peu la même chose : la première fresque, on la savoure (Oh, Bellini ! Michel-Ange ! Cimabue !…). Les suivantes, on se donne bonne conscience. C’est qu’on a beaucoup marché, et que souvent tout ça est en hauteur.

La vie du Christ, de Gaudenzio Ferrari (1513) occupe un immense mur de l’église Santa Maria delle Grazie, quelque part en Italie. Ce site propose ce qui est peut-être l’image la plus volumineuse d’Internet (8.6 Go), une photographie numérique merveilleusement fidèle de cette fresque. On dispose d’autant de temps que l’on souhaite pour l’admirer, et d’une fonctionnalité de zoom inespérée.

Pour ceux qui l’ignorent, fresco signifie frais en italien ; une fresque doit être peinte sur l’enduit tant qu’il est frais : l’artiste ne dispose que de quelques heures (évidemment, cela se fait par petites surfaces).

J’ai reconnu 16 des 21 scènes, avant de regarder la « solution ». Et vous ?

Joel on Software : Oh, the emails you’ll get…

The consulting company comes on site, measures a bunch of bogus things like Lines of Code Per Developer, or, if they’re really fancy shmancy, Number of Function Points Per Programmer Per Day. Then they tell the oil company, « Gosh, you’re only getting 73.844% productivity. Pay us another $2,000,000 and we’ll double your productivity. »

Oil company pays the $2m.

Le billet de la semaine, haut la main. J’ai connu des projets où l’on ajoutait des lignes de commentaire vides pour passer les tests de métrique.

Loïque Jemeur : Canal + en aparté

Hi hi, je suis trop happy, j’ai réussi à faire croire à Pascale Clark que j’étais « un polémiste » alors qu’en fait je suis tout simplement un con. Cela étant faut quand même reconnaître, que de par mon style littéraire assez unique et de par mes idées profondément révolutionnaires (c’est vrai quoi, on paye trop d’impôts en France), je fais des satires violentes sur la société qui à chaque fois font mouche et bousculent les préjugés de mes contemporains.

Loïque, je t’aime.