Les Indicateurs de la Pauvreté*, pays par pays, consultables en ligne, sur le site des encravatés de la Banque Mondiale.
[via le monde weblog]
* j’aurai plutôt parlé d’indicateurs « du développement », au vu de la variété des chiffres…
Les Indicateurs de la Pauvreté*, pays par pays, consultables en ligne, sur le site des encravatés de la Banque Mondiale.
[via le monde weblog]
* j’aurai plutôt parlé d’indicateurs « du développement », au vu de la variété des chiffres…
Lis tes ratures
Un anonyme familial m’a offert le dernier roman d’Yves Simon à Noël, que je viens de trouver le temps de commencer, respiration bienvenue entre deux cauchemars peuplés d’Anciens ou de Profonds.
J’ai ouvert La voix perdue des hommes avec un préjugé favorable, son auteur étant par ailleurs un musicien qui semble cultiver une salutaire discrétion médiatique. Une sorte de Jérôme Attal un peu plus âgé.
Ceci étant posé, je dois m’excuser immédiatement auprès de ce dernier pour la comparaison. La voix est une fatiguante accumulation de clichés, le genre d’oeuvre que l’on croirai sortie des nuits blanches du premier élève d’hypokhâgne venu, et pas le dixième ou quinzième roman d’un homme mûr.
Ainsi donc, il ne vous sera epargné aucunes des ficelles usées du « roman contemporain » : les allitérations surfaites (« …complaintes et raps méchants, la ville chante les maldonnes de départ… », « …la pestilence des silences avait sa préférence. »), les effets de contraste sans originalité (une grosse allusion sexuelle entre deux tirades philosophico-religieuses ; subversif en 1957 ?), les phrases d’un ou deux mots, sans verbe, qui se targuent de compléter les précédentes, les narrations de la propre vie de l’auteur de point en point (merci Kundera), les personnages archétypés (le vieux yougoslave désabusé et photographe, merci Pennac), la beauté qui nait au milieu des ordures, beaucoup de sexe triste pour se montrer obsedé et misérable (en vogue grâce à Houellebecq) et bien sûr le choix d’un mot compliqué quand existe un mot simple, pour l’effet de « poésie en prose » et la justification du mot « écrivain » sur le dossier de presse. Et je crois que quelques pages après le point où j’ai abandonné ma lecture, il y a une pute-au-grand-coeur.
Bientôt le film, par Jean-Pierre Jeunet.
Pour être franc, je n’ai pas eu la force de dépasser la première partie, soit un septième du roman. Peut-être le reste est-il formidable. De même pour les autres livres de cet auteur. Mais dans le doute, je m’abstiendrai de dépenser mon temps avec ceux-ci et le passerai plutôt en compagnie de Jérôme, qui me fascine, ou d’Ophélia, qui — elle — me bouleverse.
Murder 2000 est revenu, avec une nouvelle url : www.murder2000.com.
Pong as you’ve never seen.
Et les jolies filles dans le métro portent à peu près toutes des baskets. Il faudra bien qu’un jour quelqu’un m’explique…
Wow ! « SW IV : A New Hope » complete, in ASCII Art animation, and by telnet : telnet://towel.blinkenlights.nl.
[thanks to simon, who will end running a weblog, even if he denies]
Crazy Britons
The Magic Roundabout, or How The People From The British Roads Department (whatever they call it) Can Have Fun Sometimes.
Elsewhere, one can learn that « it has inspired a pop song – English Roundabout by Swindon’s world-famous band, XTC », Swindon being the place where it stands.
And the « Magic Roundabout » is also the English name of our wonderful children’s program La Manège Enchanté.
Alizée in the NME. Poor ol’ Nabokov.
Quelques minutes de Melon Galia en Real Video, grâce aux Inrocks.
Autotélique²
Alvin est taquin.
Pour résumer, j’ai acheté un album qui ne m’a pas du tout plu, mais lorsque j’en ai cité le nom, il a écouté et adoré. Depuis il ne parle plus que de ça et ça me stresse… 🙂