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Author: manur

C’était bien hier.

C’était profond, c’était chaleureux, c’était ouvert, c’était instructif.

Et même que Karl et Christophe, ils se sont battus à coup de compliments, et on a déclaré match nul.

Une déception quand même, y’a escroquerie sur un certain site qui se prétend à la pointe de la mode, mais ma dédontologie de bloggeur m’empêche de dénoncer nommément.

Non, sérieux, vous auriez dû venir.

Bel hommage à Dominique A sur La Côte – Douarnenez :

Le truc, on s’en aperçoit notamment en lisant son journal de bord, le truc c’est que Dominique A. est un bosseur. Son influence ne se compte pas en nombre de disques (ses ventes sont encore modestes, comparées à Cabrel et Cie), mais sur ses pairs. Il a décomplexé les gens de sa génération.

Et sinon, le Low « dépote », certes, il est magnifique au dela de tout qualificatif, mais je ne comprends pas les comparaisons avec GY!BE ou l’étiquette post-rock (même s’ils sont chez Kranky)… si ça me fait penser à quelque chose, c’est probablement plus à Idaho.

A window in Lebanon, weblog d’un francophone au Liban, très bien.

Ce sera même excellent lorsque son auteur abandonnera la morgue facile de la jeune garde en faisant à Brest – Jérusalem le reproche hors-sujet (mais « vendeur » puisque l’attaque vise une « célébrité ») de n’avoir pas été partout à la fois. Un peu comme on aurait pu accuser Erich Maria Remarque de n’avoir pas écrit de livre sur la tranchée d’en face (et on l’a certainement fait) ou Hugo de ne pas avoir écrit Le dernier jour de la victime.

La redirection est à nouveau complétement dans les choux. La situation devrait revenir à la normale au plus tard d’ici samedi. Encore désolé.

En blondes j’ai des lacunes

Mademoiselle,

Que vous soyez exagérément belle, que vous traversiez Paris de part en part dans le même wagon que moi, que vous lisiez avec application une méthode de langue russe tandis que je feins d’être plongé dans un roman polonais, que vous portiez, oh, des lunettes bleu pâle, tout cela passe encore.

Mais que vous veniez me poursuivre jusque dans mes rêves et, oh, m’embrasser, un garçon honnête comme moi ne peut le tolérer. Veuillez à l’avenir laisser Paris tranquille, vous êtes dangeureuse dans cette ville.

Puisque c’est ainsi c’est moi qui pars.