Déserteurs
Ils cessent leur weblog, mais il m’est d’avis qu’on les reverra rapidement.
Jemisa, d’abord, ferme pour maintenance. La dernière fois, je me suis fait réprimander parce que j’étais trop mélodramatique, donc bon vent ! et maintenant on espère le voir sortir cet agrégateur killer-app !
L’autre déserteur, c’est le discret mais attachant Alambic, qui nous quitte sur deux entrées formidables. A bientôt !
Mais actuellement, le seul sujet que j’arrive à traiter me remplit de désespoir. J’ai 24 ans dans quelques jours, et je veux pas aborder cette année en me plongeant dans mon désespoir tous les jours pour des gugusses qui tapent « putes en collants » dans Google.
« C’est pas pour vous fâcher,
il faut que je vous dise,
ma décision est prise,
je m’en vais déserter. »
Le Déserteur, parce que Boris c’est la grande classe.

« D’une taille moyenne, bien prises, dans la fleur de la jeunesse, admirables à contempler, on ne peut les regarder sans amour. L’œil ne se fatigue pas, l’âme est réjouie, le cœur n’est jamais rassasié. Lorsqu’on les a considérées pendant quelque temps, l’esprit qu’elles ont charmé ne peut se résoudre à les quitter. Ce ne sont plus des statues sculptées par la main des hommes, ce sont des femmes vivantes, belles et agréables. Le doute saisit et l’émotion paralyse. »