1grr – Crack of Light https://crackoflight.com chaque semaine un peu de lumière Tue, 04 Dec 2018 14:46:12 +0000 fr-FR daily 1 https://wordpress.org/?v=5.1.1 You’re the colour, the movement and the spin par 1grr https://manur.org/crackoflight/2018/12/04/youre-the-colour-the-movement-and-the-spin/ Tue, 04 Dec 2018 14:46:12 +0000 https://manur.org/crackoflight/?p=448 Sois libre. Libre de choisir la couleur (quelque chose de pâle), le mouvement (quelque chose de l’ordre du tourbillon derviche), le sens de la giration, l’animal totem, la définition de l’enfance qui t’ira le mieux, le prénom que tu me donneras.

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Le manège désenchanté par 1grr https://manur.org/crackoflight/2018/03/06/le-manege-desenchante/ Tue, 06 Mar 2018 07:59:39 +0000 https://manur.org/crackoflight/?p=381 On s’est connu, on s’est reconnu
On s’est perdu de vue, on s’est r’perdu d’vue
On s’est retrouvé, on s’est réchauffé
Puis on s’est séparé

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Ils viendront la nuit par 1grr https://manur.org/crackoflight/2017/12/13/ils-viendront-la-nuit/ Wed, 13 Dec 2017 09:48:06 +0000 https://manur.org/crackoflight/?p=302 “Nous sommes la jeunesse ardente
Qui vient escalader le ciel
Dans un cortège fraternel
Unissons nos mains frémissantes
Sachons protéger notre pain
Nous bâtirons un lendemain
Qui chante”

– Paul Vaillant-Couturier, Jeunesse (chant), 1937

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Don’t Tell A Lie About Me par 1grr https://manur.org/crackoflight/2017/11/07/dont-tell-a-lie-about-me/ Tue, 07 Nov 2017 09:00:25 +0000 https://manur.org/crackoflight/?p=254 Je peux toujours faire retraite : là où Yussef fait fleurir les pruniers avec son saxophone, où Chuck égrène les révoltes, où Shabaka Hutchings construit des remparts, où Colette ouvre des chemins dans les taillis, où Kendrick trempe son acier. Je peux me réciter le nom des frères Chambers : George, Joe, Lester & Willie.

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Among The Trees par 1grr https://manur.org/crackoflight/2017/09/19/among-the-trees/ Tue, 19 Sep 2017 08:00:02 +0000 https://manur.org/crackoflight/?p=164 Pour finir l’hiver et bourgeonner enfin, j’avais besoin de l’aérienne Laura Marling, de la lassitude que porte la voix tourbée d’un Michael Chapman pourtant pas encore vieux, de retourner à de vieilles sources qu’on pensait taries ou qu’on avait juste oublié de fréquenter avec le temps (Tunng, Richard Gilly ou même le Floyd). Force est de constater qu’une demi-année plus tard, l’envie de se perdre dans les bois est toujours là.

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