Tout n'est pas blanc ou noir, mais en ce sens il paraît difficile de croire que Jean-Bertrand Aristide, le prêtre adepte de la Théologie de la Libération et l'opposant aux impérialismes des deux côtés de l'Atlantique, soit progressivement devenu un dictateur stalinien. Le fait que le couple Chirac/Bush, l'ancien colonisateur et le nouveau Napoléon, l'accable plaide en tous les cas pour un examen critique de l'unilatéralisme de la presse française et américaine.
Ce que fait un éditorialiste du Guardian : Why they had to crush Aristide
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Another, more important, reason for the vilification is that Aristide never learned to pander unreservedly to foreign commercial interests. He reluctantly accepted a series of severe IMF structural adjustment plans, to the dismay of the working poor, but he refused to acquiesce in the indiscriminate privatisation of state resources, and stuck to his guns over wages, education and health.
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